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mercredi 6 février 2008

Crédit Mutuel

Le Crédit Mutuel, 2ème banque de l’agriculture et notamment des jeunes agriculteurs, sera présent au Salon international de l’Agriculture (SIA) du 23 février au 2 mars 2008, Porte de Versailles à Paris. Présent auprès des agriculteurs de leur installation jusqu’à leur retraite en passant par le développement de leur activité et la couverture des aléas, le Crédit Mutuel sera heureux de vous accueillir sur son stand (hall 3, K1).

Vous cherchez à vous constituer un capital qui pourrait aussi être synonyme d'avantages fiscaux au fil du temps ? Que vous ayez en tête une future transmission de patrimoine ou simplement la préparation de votre retraite, suivez le Crédit Mutuel.
Avec l'assurance-vie, vous vous assurez un placement à la fois avantageux au niveau de la fiscalité, idéal pour transmettre à terme un patrimoine et parfaitement adapté pour préparer votre retraite.

Banque de proximité, le Crédit Mutuel organise comme chaque année l'Assemblée Générale de ses Caisses locales. L'occasion privilégiée, en tant que clients et sociétaires de participer à la vie de votre banque.
C'est l'opportunité de vous rencontrer, de vous présenter notre activité et nos projets pour mieux vous servir, mais aussi d'échanger avec vous et connaître vos attentes, vos interrogations et vos souhaits.


pour plus de renseignements, cliquez ici .

dimanche 27 janvier 2008

Cofidis




Cofidis, le spécialiste du crédit en ligne, vous propose ses offres : réserve de crédit, prêt personnel, rachat de crédits, bons plans en ligne.

Avec la formule Libravou
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Avec le prêt sur mesure, profitez de 4000 a 21500€ pour financer vos projets!

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mercredi 23 janvier 2008

Le Crédit Agricole




Le crédit Agricole et sa devise une relation durrable sa change la vie, vous propose une asurance, un compte, des crédits, l'épargne, et des livrets pour les plus jeunes.

Au niveau assurance, nous constatons deux grandes parties, l'assurance des biens et l'assurance de la personne.
Pour l'assurance du bien, 3 assurances sont présentes:
-Automobile et 2 roues
-Habitation
-Loisirs et vie quotidienne

Pour l'assurance de la personne:

-Complémentaire Santé
-Assurance Décès IVP Flash
-Protection Juridique Pleins Droits
-Assurance Dépendance
-Assurance Décès Valeur Prévoyance
-Garantie des Accidents de la Vie
-Garantie Obsèques

Au niveau quotidien
, parce qu’il vous connaît bien, le Crédit Agricole vous propose toute une gamme de services utiles pour gérer votre budget en toute sérénité et garder l’œil sur vos comptes 24h sur 24 et à distance, par téléphone, Internet, SMS...

-Vie quotidienne

Nos solutions

* Protection Juridique Pleins Droits
* Dossier Familial
* Good Loc’

-Moyens de paiement

Nos solutions

* Cartes retraits et paiements
o Carte bancaire de l’Equipe de France de Football
o L’autre Carte
o Carte Mastercard
o Carte Gold MasterCard
o Carte Platinum MasterCard
o Carte Moneo
* Cartes Mozaïc pour les jeunes
o Carte Mozaïc de Retrait
o Carte Mozaïc Maestro
o Carte Mozaïc de paiement
o Bons plans de la carte Mozaïc
* Autres moyens de paiement

-Ouvrir un compte

Choisissez votre formule de compte-service pour gérer votre compte selon vos besoins.
Nos solutions

* Compte-service

-Gestion des comptes

Suivez et gérez vos comptes 24h/24 sans vous déplacer.
Nos solutions

* Crédit Agricole en Ligne
* Banque Mobile
* Service de Bourse en ligne

Au niveau crédit, le Crédit Agricole vous accompagne dans le financement de vos projets : vous loger, entreprendre des travaux, vous équiper… Vos projets méritent toutes les attentions car ce sont eux qui rythment votre vie:

-Prêts immobiliers

* Prêt Immobilier du Crédit Agricole
* Solutions Habitat Premier Achat
* Nouveau Prêt à 0%
* Prêt à l’Accession Sociale (PAS)
* Solutions Habitat Investissement Locatif
* Solution Habitat Achat-Revente
* Assurance Décès Invalidité
* Convention AERAS

-Prêts à la consommation

* Crédit Conso
* Mozaïc Permis

Au niveau épargne
, votre Conseiller Crédit Agricole vous aidera à choisir les solutions les plus adaptées à votre situation et à vos projets:

-Epargne bancaire

* Epargne liquide
o Compte sur Livret
o Livret de Développement Durable
o Codebis
o Livret d’Epargne Populaire
o Livret Tiwi
o Livret Jeune Mozaïc
* Epargne logement
o Compte Epargne Logement
o Plan Epargne Logement
* Epargne à terme

-Bourse

* SICAV & FCP
o Capitop Monétaire
o Emprunt obligataire Crédit Agricole S.A.
o Sicav et FCP
o Atout Vivactions
o Atout Modéractions
o Atout Horizon Duo
o Fonds Opportunité
o Capitop Revenus
* Comptes titres
o Service de Bourse en ligne
o Plan d’Epargne en Actions
o Compte Titres Ordinaire
* Epargne boursière programmée

-Assurance vie

* Cap Découverte
* Predissime 9

-Retraite

* Plan Vert Vitalité



Pour plus de renseignement sur cette banque, cliquez-ici

lundi 21 janvier 2008

Assurance auto : comment diminuer la note ?




A la question « payez-vous trop cher votre assurance auto », une majorité de Français répondent oui ! Mais réduire ce coût sans toucher aux garanties couvertes n'est pas simple. Quelques infos pour tirer votre épingle du jeu.

Faites le bilan

Relisez votre contrat pour vérifier s'il correspond toujours à votre situation. Un exemple ? Si votre voiture n'est plus cotée à l'Argus, inutile de continuer à payer une assurance auto tous risques. Si vous voulez résilier votre contrat, vérifiez d'abord le préavis à respecter. Enfin, envoyez votre demande de résiliation en recommandé avec accusé de réception.

Jouez la carte de la concurrence

Une même compagnie d' assurance auto dispose souvent de deux réseaux de vente, les courtiers et les agents généraux, et le plus souvent en concurrence. Donc, demandez des devis et comparez. Enfin, contrairement aux idées reçues, les tarifs sont négociables.

L'assurance au kilomètre


Si vous roulez moins de 10 000 km par an, mieux vaut privilégier des contrats « au kilomètre » proposés par certaines compagnies d' assurance auto . Vous pourrez ainsi réaliser des économies substantielles.

Des astuces spéciales jeunes conducteurs.


Perçus comme des conducteurs à risque, ils doivent souvent payer plein pot leur assurance auto , fortement majorée. La solution ? Choisir, dès 16 ans l'apprentissage anticipé à la conduite (AAC). Un tarif préférentiel est accordé à ceux qui optent pour cette formule. Une fois le permis en poche, les jeunes peuvent s'assurer sur le véhicule de leurs parents, en « conducteur secondaire », pendant un à deux ans, histoire de limiter les frais avant l'acquisition d'un véhicule personnel.

Les « assureurs directs »

Certaines compagnies ont créé des sociétés d' assurance auto en ligne. Ces assureurs directs proposent en général des tarifs plus intéressants. A vérifier en évaluant différents contrats, sans risque d'être influencé par le discours bien rôdé d'un agent d'assurances.

De plus, pour vos aider, n'oubliez pas bien entendu les comparateurs d'assurance automobile !!!

Devis assurance habitation : 3 astuces pour payer moins cher (locataire ou propriétaire)




1-Mettez votre assurance en concurrence


Pour baisser sa prime d’assurance la première chose à faire est de mettre votre assureur en concurrence avec les autres. Comparer les assurances habitation est une démarche simple et peu vous permettre de faire des économies substantielles. Prenez votre téléphone et votre annuaire ou effectuez vos devis sur Internet ! Attention pour que votre assureur prenne en compte vos devis de la concurrence et espérer une réduction, vous devez réaliser des devis avec des garanties similaires. Sur votre contrat vous devez regarder les garanties souscrites et les franchises. Augmenter les franchises est un moyen couramment utilisé par les assureurs pour baisser les tarifs.

2-Regroupez vos contrats auprès d’un même assureur

La plupart des compagnies d’assurance proposent des réductions supplémentaires à leurs “clients complets”, c’est à dire ceux qui ont souscrit l’ensemble de leurs contrats d’assurance auprès de leurs services. Souscrire ses assurances (auto, habitation, santé, prévoyance…) auprès d’un même assureur vous permettra surement de bénéficier d’emblée d’une réduction. Si aucune réduction ne vous a été accordée n’hésitez pas à faire des devis auprès des concurrents et à prendre un rendez vous avec votre conseiller habituel pour lui montrer vos devis. Vous serez en position de force pour négocier un meilleur tarif sur l’ensemble de vos contrats. Il est préférable de regrouper ses contrats auprès d’une même compagnie d’assurance pour bénéficier d’avantages tarifaires, mais également pour simplifier vos démarches en cas d’avenant (changement d’adresse, de voiture…) ou d’interrogation sur vos garanties. Vous passerez toujours par le même interlocuteur…

3-Choisissez le paiement par prélèvement annuel

Optez pour le paiement par prélèvement, les assureurs prennent des frais de gestion pour le paiement par chèque(s). Par ailleurs, préférez le paiement annuel plutôt qu’un paiement fractionné (mensuel, trimestriel, semestriel). La plupart des assureurs prennent des frais pour le fractionnement des paiements et plus vous fractionnez vos paiements plus votre assureur prendra de frais de gestion. Aussi pour le même risque (nombre de pièces, capital mobilier…) un assuré payant sa prime mensuellement par chèque paiera plus cher qu’un assuré réglant par prélèvement annuelle. Vérifiez auprès de votre assureur.

Vous souhaitez équiper votre maison d’un système de protection, vous pouvez obtenir une réduction sur votre garantie vol.

dimanche 20 janvier 2008

Les astuces d'un contrat d'assurance-vie




1. Faites une clause bénéficiaire sous conditions.

Objectif : Verrouiller l’utilisation du capital décès La clause bénéficiaire est le point clef d’une assurance-vie. On y désigne la ou les personnes qui percevront la valeur du contrat à son décès. Mais, subtilement, on peut assortir l’octroi de ces capitaux à certaines conditions. Par exemple, on pourra prévoir leur conversion en rente viagère ou leur utilisation pour l’acquisition d’un bien immobilier. Autre exemple plus fréquent, notamment lorsqu’un enfant est concerné : rendre ce capital disponible seulement à compter de ses vingt ou vingt-cinq ans. De quoi rassurer bien des parents ou grands-parents, désireux de transmettre à leurs descendants. Mais qui va vérifier l’application de ces conditions ? Pas l’assureur, mais le notaire ! Dans ce cas, mieux vaut ne pas opter pour la clause bénéficiaire type du contrat, mais préciser que la clause est déposée chez un notaire. Vous éviterez en outre qu’elle puisse être "acceptée" par le bénéficiaire, ce qui vous laisse toute latitude pour la modifier.

2. Prenez date pour vos bénéficiaires.

Objectif : leur offrir un réceptacle pour les capitaux décès Vous venez de souscrire une assurance-vie en y désignant un ou plusieurs bénéficiaires. D’ordinaire, il est de règle de ne pas les informer, mais dans la réalité, le conjoint, voire les enfants, connaissent souvent l’existence des contrats dont ils sont bénéficiaires désignés. Autant donc leur ouvrir – ou leur faire ouvrir – simultanément un contrat à leur nom. Ainsi, au jour de la perception des capitaux décès, le bénéficiaire disposera, selon toute vraisemblance, d’un réceptacle défiscalisé. Car c’est la date d’ouverture du contrat qui détermine la fiscalité.Sinon, au moment du décès du souscripteur, les bénéficiaires ouvrent souvent un contrat avec le capital reçu. S’ils veulent rapidement faire des retraits, ils se trouvent alors fiscalisés sur les gains à 35% avant quatre ans ou 15% entre quatre et huit ans. Plus, sur les multisupports, les 11% de prélèvements sociaux. Si le contrat est ancien, ils pourront y verser le capital décès et bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse. Après huit ans, les gains sont seulement taxés à 7,5% après un abattement de 4600 euros pour un célibataire et de 9 200 euros pour un couple. Cette astuce ne mobilise pas des capitaux importants, car certains bons contrats du marché s’ouvrent avec 100 euros, voire moins.

3. Ajoutez les intérêts à vos revenus.

Objectif : alléger la note fiscale des retraits les premières années Lors d’un retrait partiel ou total sur un contrat d’assurance-vie, vous avez le choix entre intégrer les intérêts à votre déclaration de revenus ou opter pour le prélèvement libératoire, directement effectué par l’assureur. Le choix sera fonction de votre taux marginal d’imposition. Si ce dernier est inférieur à celui du prélèvement libératoire, optez pour l’intégration à vos revenus. Tel est le cas pour les retraits effectués avant quatre ans dès lors que votre revenu imposable par part est inférieur à 23 888 euros. Un chiffre qui tombe à 8 382 euros par part après quatre ans… Bon à savoir :si les intérêts du retrait sont intégrés à la déclaration d’impôt, il est possible l’année suivante de soustraire de vos revenus imposables la part déductible de la cotisation sociale généralisée (CSG), soit 5,1% sur les 11% composant la ponction sociale totale. Une possibilité uniquement offerte aux détenteurs d’un contrat multisupport, où ces prélèvements sont dus lors des retraits.

4. Faites le bon choix entre retraits partiels ou rachats totaux.


Objectif : éviter ou réduire l’impôt Avant de faire un retrait, mieux vaut attendre huit ans. Vous bénéficiez d’un abattement sur les gains de 4 600 euros pour un célibataire ou de 9 200 euros pour un couple… renouvelable tous les ans. Partant de là, optez pour des retraits partiels annuels pour profiter plusieurs fois des abattements plutôt que pour un rachat total. Et si vous devez tout retirer et que la fin d’année est proche, faites donc un premier retrait avant le 31 décembre, un autre en début d’année. Pour savoir combien récupérer après huit ans sans payer d’impôts, appliquez la formule : abattement x valeur du contrat à la date du retrait/total des intérêts acquis. En revanche, après 70 ans, les retraits partiels nuisent à un objectif de transmission. Après cet âge, l’assiette taxable au décès est égale à l’ensemble des versements effectués sur les contrats transmis minorés d’un abattement de 30 500 euros. En effectuant des retraits partiels, l’épargnant ne va pas diminuer cette assiette. Exemple: un assuré de plus de 70 ans verse 100 000 euros en ouvrant quatre contrats à 25 000 euros. Ils en valent 40 000 dix ans plus tard. S’il fait des retraits partiels sur ces contrats pour un montant global de 40 000 euros, l’assiette taxable pour les bénéficiaires sera de 69 500 (100 000 euros versés moins l’abattement de 30 500). En revanche, si l’assuré procède au rachat total d’un des contrats pour disposer de cette même somme, il n’aura plus que trois contrats, l’assiette taxable tombera à 44 500 euros (75 000 euros versés moins l’abattement) et les bénéficiaires payeront moins d’impôt.

5. Refusez le bénéfice du contrat au profit d'un autre bénéficiaire.


Objectif : permettre aux bénéficiaires suivants de récupérer les capitaux en franchise d'impot. Tout bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie peut se désister et laisser le capital au(x) bénéficiaire(s) suivant(s). Il s’agit alors de renoncer au bénéfice du contrat. Cette possibilité présente un double intérêt. C’est tout d’abord un excellent moyen pour un bénéficiaire qui n’est pas dans le besoin au moment du décès du souscripteur, par exemple le conjoint, de laisser les capitaux aux bénéficiaires suivants, en particulier les enfants, s’ils en ont davantage l’utilité. Il n’y a là aucun risque de requalification en donation déguisée, plusieurs réponses ministérielles l’ont attesté. L’autre avantage de la renonciation est fiscal. Quand on est bénéficiaire de plusieurs contrats d’un même assuré, on peut renoncer à l’un pour éviter de payer des droits trop élevés en cas de dépassement des abattements. Le(s) second(s) bénéficiaire(s) percevant le capital va, lui, profiter des avantages fiscaux de l’assurance-vie comme s’il avait été premier bénéficiaire. En pratique, il suffit d’envoyer une lettre avec accusé de réception à la compagnie d’assurances, dans laquelle le bénéficiaire exprime simplement qu’il renonce au contrat. A noter: la renonciation au capital d’un contrat ne peut être partielle. Et cette décision n’est pas non plus liée à la renonciation d’une succession.

6. Eviter toute contestation dans le cas où vous n'êtes pas un héritier réservataire.

En premier lieu, le contrat peut être remis en cause par les héritiers réservataires, si le montant des primes versées par le souscripteur est manifestement excessif. Tel sera le cas, si les sommes investies apparaissent disproportionnées aux revenus et au patrimoine du défunt. Le risque de remise en cause est encore plus grand lorsque les versements sur le contrat d’assurance-vie ont eu lieu alors que le souscripteur était très âgé ou malade. Lorsque les primes sont regardées comme excessives, l’excédent est réintégré à la succession. Soyez raisonnable pour ne pas risquer des recours possibles.Les héritiers peuvent également prétendre que le contrat d’assurance-vie cache, en réalité, un simple contrat de capitalisation (voir le dossier « la fiscalité de l'assurance-vie »). L’effet ici est encore plus radical puisque, si les héritiers obtiennent gain de cause, c’est la totalité du capital qui retombe dans la succession. C’est ce qui s’était passé dans une affaire désormais célèbre, l’affaire Leroux. La Cour de cassation avait en effet requalifié en contrat de capitalisation un contrat d’assurance-vie souscrit par une personne âgée peu avant qu’elle ne décède. Cet arrêt du 18 juillet 2000 de la Cour suprême avait déclenché un véritable séisme dans le monde des assureurs qui craignaient de voir remis en cause le fondement même du contrat d’assurance-vie.Depuis, la Cour de cassation s’est attachée à mieux respecter le périmètre des contrats d’assurance-vie tandis que les assureurs, de leur côté, prenaient leurs précautions pour éviter que leurs contrats ne soient regardés comme une simple opération d’épargne. Le risque de requalification semble donc aujourd’hui s’être éloigné.

7. Astuce pour retrouver un contrat égaré si vous êtes le bénéficiaire.

Si vous pensez être bénéficiaire d’un contrat, mais sans savoir auprès de quelle compagnie d’assurance réclamer, vous pouvez, depuis le 1er mai, en avoir très vite le cœur net. Il suffit d’écrire à Agira, un organisme chargé de transmettre votre demande aux assureurs, mutuelles et autres institutions de prévoyance dans un délai de quinze jours. Ces derniers ont un mois pour fouiller leurs archives et vous avertir s’ils retrouvent le contrat vous concernant. C’est gratuit, mais vous devez fournir avec votre demande l’identité, l’adresse, les date et lieu de naissance du souscripteur présumé, un certificat attestant de son décès ainsi que vos coordonnées.Agira, Recherche des bénéficiaires en cas de décès, 1, rue Jules Lefebvre, 75 431 Paris Cedex 09.

8. Inscrivez l'adresse du bénéficiaire sur votre contrat si vous êtes le souscripteur.

Désormais, s’ils ont connaissance du décès du souscripteur, ils sont tenus d’écrire spontanément au bénéficiaire pour lui signaler l’existence du contrat dont le capital lui revient. Mais, bien sûr, cette obligation ne vaut que s’ils disposent de l’adresse de l’intéressé ! Avis donc aux souscripteurs : communiquez les coordonnées de vos bénéficiaires à votre assureur pour qu’il puisse les alerter le cas échéant

9. Garder l'exemplaire original du contrat en lieu sûr et ne l'égarez pas !


Mais ne croyez pas qu’il suffit d’être bénéficiaire et d’avoir retrouvé le contrat pour recevoir en quelques jours le capital attendu. Il faut souvent compter quelques semaines et, parfois même, plusieurs mois de patience. L’assureur a tout son temps : le code des assurances ne lui impose aucun délai minimal. Les conditions générales du contrat, elles, peuvent en prévoir un (souvent un à deux mois). Mais il ne court qu’à compter du moment où le dossier de demande du bénéficiaire est complet. Et c’est là que tout se complique : les assureurs demandent des justificatifs (de votre parenté avec le défunt, de votre identité, etc.) et, en particulier, l’exemplaire original des conditions particulières du contrat, remis lors de la souscription. Il reste donc à espérer que le souscripteur l’ait conservé et qu’il soit facile à récupérer. Sinon, il faut négocier avec l’assureur pour qu’il accepte de s’en passer. Souscripteurs, pour faciliter le travail de vos bénéficiaires, conservez soigneusement ce document.

10.Faire une clause bénéficiaire demembrée.

Si vous souhaitez protégez votre conjoint et donnez ensuite à vos enfants , désignez vos enfants nue-propriétaire et votre conjoint usufruitière.

Autres assurances




D'autres assurances ne donnant pas d'offres sur leur page sont à disposition tout de même ici. Si ces assurances mettent des nouvelles intéressantes pour vous, un nouvel article sera créé. Pour l'instant voici une petite liste d'autres assurances :

-cnp assurances
-GAN
-AXA
-Direct assurance
-Matmut
-eurofil
-Swiss life